Psychotropes et VIH
Une étude récente a démontré que les personnes séropositives consomment davantage de médicaments psychotropes que les personnes séronégatives, dans une proportion respective de 55 % et de 30 %. Que vous soyez atteint ou non du VIH, l’usage de psychotropes ne doit jamais être pris à la légère. Connus pour provoquer des interactions médicamenteuses en cas de combinaison avec d’autres molécules, notamment avec les antirétroviraux, nous savons aussi qu’ils forment un très mauvais ménage avec les drogues récréatives.